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Le propre de la fiction — tous genres confondus — c’est qu’elle a tendance à s’inspirer de la réalité, à la développer, à l’extrapoler, pour mieux la dénoncer, ou bien pour mettre en évidence tel ou tel trait de caractère humain.

Pour Les larmes de Saturne, je n’ai pas eu besoin d’extrapoler quoi que ce soit. Tout ce dont j’avais besoin se trouvait dans notre Histoire. Cette nouvelle n’est donc pas une nouvelle de science-fiction, plutôt une nouvelle historique traitant d’un problème scientifique, plus précisément d’une question écologique. Si la quasi-totalité des personnages sont fictifs, la situation évoquée n’en est pas moins tout à fait réelle. Je préfère ne pas vous en dire plus au risque de vous dévoiler le contenu de l’intrigue. Je cesse donc d’être énigmatique et vous laisse découvrir Les larmes de Saturne, que vous trouverez ici-même ou bien sur Amazon.

Le résumé :

Rome, début du Ier siècle. L’homme de science Marcus a découvert une menace qui planait sur l’Empire romain. Il doit en informer l’empereur et le convaincre d’agir.

Je remercie mes bêta-lecteurs, qui ont contribué par leurs remarques judicieuses à améliorer ce texte : Marie, Franck, Madame Love, Leslie, et Benoît.

Crédit photo : NASA / Domaine public (sonde Cassini)

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